lundi, octobre 01, 2007

NOVEMBER 2007



Camera War


Production stills taken by Martín Pastor.
Mar del Plata, Argentina.








Grabación:
Javier Cortiellas (Production co-ordinator)
Nicolas Berenz (Back y Producción)
Amanda Martin (Foto fija)
Guillermina Gomez (Arte y Producción)
Demian Basualdo (Producción)
Martin Pastor (Cameraman/Assistant cameraman)




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Lech Kowalski will be in Milano on Nov 16 to introduce EAST OF PARADISE at the cine-forum of San Fedele cultural center
more information : on http://www.sanfedele.net/



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Lech kowalski will show a selection of his films in Paris at the RENCONTRES INTERNATIONALES DE PARIS
Organized by the Forum des images, the Rencontres internationales de cinéma à Paris, will take place from November 27 - December 4, 2007 at the Reflet Médicis in Paris.

Photo by Anne Pagano

more information here



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November 9, 10 and 11, 2007 : "UN WEEK-END D’INEDITS"
organized by les Cahiers du cinéma


East of Paradise will be shown in Paris during as part as a selection of films made by
les cahiers du cinema on Sunday November 11 at 13h45 at
the Cinema le Pantheon, 13 rue Victor cousin, Paris 5.



From November 27 to December 4, 2007.



more information on the website des cahiers du Cinema.



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From Nov 2 to November 11, 2007


Lech Kowalski will be in Mar del Plata for the
Muestra International de cine independiente de mar del plata in Argentina MARFICI




more information on the website










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OCTOBER 2007


Lech Kowalski will be in Lisbon during Doclisboa for a retrospective of his films.

He will present a selection of his work and will also give a Masterclass.

More informations about the program http://www.doclisboa.org

mercredi, août 15, 2007

LOCARNO INTERNATIONAL FILM FESTIVAL

On the Piazza Grande on August 11, 2007 after the award ceremony,
presented as the closing film of the festival,
the world premiere of Winners and Losers Lech Kowalski's last film

After a short introduction of the film....








And the screening






jeudi, juillet 26, 2007

AUGUST 2007

For the closing ceremony of the festival on August 11, 2007 on Piazza Grande in Locarno, Switzerland, we will screen the latest production of Lech Kowalski :

Winners and losers






The 2006 world cup football final made infamous by Zidane’s head butt to Materazzi presented a perfect opportunity for a unique film.
We hear the French and the Italian announcers but never see football players or action on the field. Instead we follow the action by watching French and Italian spectators watching the game. We are with them in Paris and Rome, in their homes, in cafes or in Stadiums.
They are the main characters.
They represent the two teams and are as important as the unseen stars on the field.
Each person watching the finale was, at least for the duration of the game, deeply nationalistic. Eyes gaze in anticipation. Every tic, every reaction reveals hope and dread. But the people we are watching are more than spectators. We are observing people being themselves. They are mirrors. We are watching ourselves. The film is about people as much as it is about football.
Today we know that Italy beat France but the people in Winners and Losers will live forever, waiting to the very last seconds of the game, hoping their side will win.
When the screen fades toblack, something stays with us,
something more profound than a football score.

mardi, juin 26, 2007

More in JUNE 2007


Le Samedi 30 juin 2007 au Cinéma Jacques Tati
à Tremblay en France,


dans le cadre de la soirée :
DIY (do it yourself) : L’ESPRIT PUNK
vous pourrez voir ou revoir :

THE BOOT FACTORY
de Lech Kowalski

20 heures



Dans le film, on voit de jeunes punks s'amuser à reconnaître, au fil des pages d'un album illustré, Patti Smith, Iggy Pop ou The Ramones. Mais on est bien loin de New York, dans la région de Cracovie. Lech Kowalski, né à Londres de parents polonais ayant fui les camps soviétiques, a retrouvé avec «The Boot Factory» tout à la fois ses racines familiales et un mouvement underground aussi frais que celui qu'il avait connu vingt ans plus tôt à New York. C'est en allant pour la première fois dans son pays d'origine pour y montrer ses fIlms que Lech Kowalski rencontre Lukasz Siska, jeune punk qui s'extasie devant ses images des Sex Pistols et lui montre ses bottes, il les a faites lui-même. C'est le déclic et le début du tournage. Lukasz et ses copains fabriquent ce genre de hautes bottes qui chaussent les punks du monde entier, du modeste trois œillets au glorieux 14 œillets, en noir bien sûr, mais aussi dans des cuirs de couleurs. «Avant, elles venaient de Roumanie. On les appelait les roumounes. » Comme il y avait une «niche, les jeunes punks de Cracovie s'en sont emparés. Le marché est en train de se développer et touche désormais une clientèle beaucoup plus classique, comme le montre une scène où une jeune fille sage vient, accompagnée de sa mère, se choisir une paire de bottes de punk.
La fabrique est née dans un squat, une même pièce servant de dortoir, d'atelier et de salle des fêtes. La petite entreprise grandit. Les fêtes continuent, noyées dans la bière. Des chanteurs hurlent ce qu'ils sont encore capables de hurler dans des micros auxquels ils se raccrochent, l'œil vague. La musique accompagne d'ailleurs en permanence les journées de travail façon punk. Et tout en cousant le cuir, en collant les semelles- avec de mauvais masques à gaz pour se protéger des solvants -, on chante en chœur de puissants airs scatologiques, où il est question de relations pas du tout catholiques entre un sacristain et un marin. Lukasz et ses amis témoignent de leur difficulté à vivre dans une Pologne qu'ils disent minée par le népotisme, de leur destin de brebis galeuses. La fabrique de bottes leur permet de nier cette infortune. La première partie du documentaire se termine d'ailleurs sur le mariage de l'un d'eux, Piotr. Bottes bien cirées, look des grands jours, mairie, champagne et promesses. ..
Pour la seconde partie, six mois plus tard, Lech Kowalski abandonne le noir et blanc pour la couleur. Pourtant, la réalité n'est pas très rose. Piotr a eu un bébé, mais il doit, tout comme Wojtek, se battre contre l'emprise de l'héroïne. À la fin du documentaire, un carton annoncera que l'un est parti pour deux ans dans un camp de réintégration par le travail de l'autre côté de la Pologne, et que l'autre a eu un bébé avec une nouvelle fille de l'atelier. Pour faire face aux commandes, Lukasz embauche. Pas de discours économique dans le film de Kowalski. On n'apprendra rien sur la méthode de gestion de cette entreprise originale. La caméra montre simplement la vie de ces punks au plus près. Elle adopte le rythme anarchiste de lJustifiereur existence, filme la main qui bat un rythme, celle qui enfonce le poinçon dans le cuir, les visages piercés. . . Et leurs bottes, beaux objets fétiches d'une culture de dérision.
Elisabeth Chardon /Télé Temps Suisse

C'est la chronique d'une petite fabrique un atelier-squat dans les faubourgs de Cracovie. Artisanalement, Lukasz, Piotr et Wojtek y confectionnent des grosses pompes façon Doc Martens made in Poland. Au fil des quatre saisons, la caméra a vécu à leur rythme : d'abord dans un noir et blanc " qui ex-prime la partie mythique de la vie de "l'entreprise' ; en couleur ensuite ‘pour montrer une autre réalité, celle des dysfonctionnements et des diffi-cultés de vivre’, explique le réalisateur. Résoudre l'équation « Implication dans la société et préservation de ses diffé-rences » n'a rien d'évident. Ou com-ment être à la fois dans et en dehors des normes, travailler pour gagner sa vie tout en continuant à écluser des litres de bière et à se shooter. Le cadre et le montage des images vibrent en accord avec la musique punk-rock qui envahit l'atelier le jour, et les fêtes la nuit. The Boot Factory est la rencontre punching-ball et compréhensive de deux cultures alternatives. Celle de jeunes Polonais qui tentent d'allier le sérieux et le destroy, et de Lech Kowalski, réalisateur anglais d'origine polonaise, américain d'adoption, devenu l'un des chefs de file du cinéma underground US.
Cécile Maveyraud / Télérama

Au début, on se dit : horreur, la vie des punks polonais de la grande banlieue de Cracovie, filmée en noir et blanc charbonneux et tournée caméra à l'épaule. Glauque. Et puis pas du tout. En assistant à une beuverie appuyée chez ces artisans-Oï qui se vautrent dans la néo-sauvagerie comme des cochons dans la fange, on a presque envie de baptiser ce film le "Scorpio Rising de la cordonnerie" — ces punks étant également des fabricants de rangers. Mais cette référence est finalement un peu déplacée, car on est loin des délires maniéristes de Kenneth Anger sur les Hells Angels new-yorkais des années 60. "Ma petite entreprise de Docs" serait finalement un titre plus approprié. Enfin bref, une fois accoutumé au tangage visuel, une fois qu'on a capté de quoi il retourne — ça prend du temps, il n'y a pas de commentaire explicatif—, on y prend goût, on s'attache à ces êtres frustes, ex-taulards, ex-drogués, qui vendent et fabriquent des croquenots orthopédiques dans . un pavillon de banlieue, en collant des semelles compensées avec une colle qu'ils pourraient sniffer, en écoutant à dont des hymnes punk-skin, en polonais dans le texte. C'est aussi ça, la force du cinéma : rendre humains et émouvants des êtres dont, a priori, nous n aurions pas une folle envie de faire la connaissance. Au-delà de leurs tatouages, leurs piercings, ces cordonniers marginaux sont d'ailleurs des artisans-prolos très conventionnels, qui n'omettent pas de se marier, de payer leurs traites, etc. Certes, ça déraille quand deux d'entre eux retombent dans la dope, et se font même taper sur les doigts par leur patron coiffé comme un Hun quand ils sont en retard au boulot, mais cet accoutrement, ces rustiques goûts musicaux sont finalement le reflet du monde dans lequel ils vivent. Eternelles années 70 grisâtres. Quant à la réalisation, elle est au diapason : antisophistiquée au possible. Un gage d'honnêteté et de vérité. On ne pige pas vraiment pourquoi le film passe sans crier gare à la couleur vers la fin. Mais est-ce bien grave, dans le fond ?
Vincent Ostria/ les inrockuptibles


Renseignements :
http://www.tremblay-en-france.fr/page/p-103/art_id-2410/

Pour réserver :
01 48 61 94 26 ou cinema.tati@ville-tremblay-en-France.fr


Pour venir :
Cinéma Jacques Tati. Site : www.tremblay-en-france.fr
29 bis avenue du général de Gaulle – 93290 – Tremblay-en-France
RER B, direction Mitry-Claye, arrêt Vert-Galant, passer sous les voies puis continuer tout droit, le cinéma est à 400 mètres.
Nous sommes à 20 minutes de Gare du Nord.

mercredi, mai 23, 2007

JUNE 2007

In Paris, on june 21, 2007 at the Cinéma MK2 Quai de Seine as part as Rock 'n 'docs

You will have the chance to see

D.O.A.
A rite of passage


Lech Kowalski's cult movie
about
the one and only Sex Pistols tour in the USA in 1978,
as part as whole night of films and music.



with French subtitles.



Filmed in '78 as it happened, when it happened, like it happened, DOA is the legendary and definitive document of the punk generation seen through the demise of The Sex Pistols whilst on their ill-fated US tour which saw both the break-up of the band and the death of Sid Vicious.

Loaded with explosive performances from the prime movers of movement including The Sex Pistols (doing Anarchy In The U.K, God Save The Queen, No Fun, Pretty Vacant, Holidays In The Sun and heaps more), X Ray Specs (with their incendiary classic Oh Bondage Up Yours), The Rich Kids, Generation X, Sham 69, The Dead Boys and tons more, the film really captures something in that classic establishment versus angry youth way.
DOA is more than just a mirror to the scene, it is as much part of the movement as the music itself...chaotic, claustrophobic, nasty and aimed squarely between your eyes.


"As a document of British Punk at its most naked and powerful, D.O.A. is without equal."
John A. Platt
Lincoln Center NYC CineRock film festival
Loud films rare music

On y découvre, outre les live hystériques des Pistols menés par un Johnny Rotten au regard halluciné, les frémissements d'un mouvement mort-né, pris entre la fin des idéologies hippies et le cynisme consumériste des années 80.
(..) Accompagnant le groupe de ville en ville, l'image tremblée et sale, soulignée par une bande-son impressionnante (The Clash, Sham 69, Dead Boys...), nous fait pénétrer dans l'intimité du groupe et de ses fans imbibés d'alcool. Il y a surtout cette scène dans une chambre d'hôtel, où Sid Vicious et Nancy Spungen, complètement défoncés, gisent sur le lit dans un état de délabrement qui semble annon-cer la fin tragique du couple quelques années plus tard.
Nathalie Dray / Les inrockuptibles, 2004


Un baptême, un 45 tours posé sur une platine, un cri d'enfant libératoire et une touche power qui enclenche «Night clubbing» d'Iggy Pop, et déjà une mort est annoncée à l'arrivée. Dans DOA, film désormais de référence en la matière et fondé essen-tiellement sur l'unique tournée des Sex Pistols aux États-Unis en 1978, Lech Kowalski pose un regard à la fois fasciné et désabusé sur le mouvement punk. Détracteurs, fans et suiveurs, tous sont conviés pour cet enterrement prématuré(…). L’excitation, la possibilité d'une alternative sont ici exaltées par des images d'adolescents revenus à la vie et par une esthétique brutale, sans concession, allergique à tout canon de beauté et d'une séduisante impureté. Le signe d'une résurrection ?
Barbara Levandangeur / Atelier Lech Kowalski -Visions du réel, 2004




La única gira realizada por los Sex Pistols por Estados Unidos en 1978 funciona como la alegoría del auge y decadencia del movimiento punk. Kowalski filmó ? sin autorización ? el violento y caótico viaje; el documental incluye entrevistas, material de archivo de los pioneros del movimiento punk y la banda sonora es excepcional. Los legendarios Syd Vicious y Nancy Spungen aparecen drogados y borrachos, poco antes de la desintegración del grupo y de su dramático final.
Festival FICCO Mexico, 2006


Un film insolente e accattivante sulla musica punk sul e fuori dal palco. Girato nel 1978, come, quando, mentre è successo, DOA è senza dubbio documento leggendario e definitivo della generazione punk, vista attraverso la caduta dei Sex Pistols durante il loro sfortunato tour negli Stati Uniti che segnò la rottura della band e la morte di Sid Vicius
Alba Film Festival, 2005


Obwohl es sich hauptsächlich um eine Dokumentation der Sex Pistols American Tour 1978 handelt (die einzige die sie mit Sid Vicious gemacht haben), deckt Lech Kowalskis Film D.O.A. aus den frühen 80ern auch die frühe Punk-Szene als Ganzes ab. Es gibt viel Footage erster (und hauptsächlich britischer) Punk Bands, die sehr weit von der American Tour der Pistols gedreht wurden, sowie Interviews mit anderen Figuren, die mit der frühren Punk-Szene in Verbindung gebracht werden. Die Sex Pistols kann man auf der Bühne sehen, wie sie vieles ihres klassischen, frühen Repertoires in Clubs und Konzerthallen im ganzen Süden sowie bei ihrer letzten Show in San Francisco zu ihrem Besten geben. Weitere einflussreiche Bands in diesem Film sind The Clash, The Dead Boys, The Rich Kids (mit Ex-Sex Pistol Glen Matlock), X-Ray Spex, Generation X und Sham 69. Außerdem gibt es umfassendes Interview-Footage mit Sid Vicious und seiner Freundin Nancy Spungen kurz vor ihrem gewaltsamen Tod, sowie Szenen aus dem kurzen Bestehen der gescheiterten britischen Pub Punk Band “Terry and the Idiots”. Hinzu kommen Interviews mit Menschen aus dem Publikum der Sex Pistol Shows, die aufzeigen, wie sich die Reaktion auf die Band von Enthusiasmus zu gehässiger Missbilligung entwickelt.
Frankfurt International Film Festival 2006


more informations:
http://www.doc-grandecran.fr/rendez_vous_prog.php3?id_article=374
http://www.mk2.com/datamk2/sitescinemas/quaideloire/quaisl.swf

mercredi, mars 14, 2007

MARCH 2007

Lech Kowalski will be guest lecturer of a master class series on author documentaries at the Netherlands Film and Television Academy in Amsterdam in March 2007


Entitled Masterclass Author’s Documentary the series of master classes present experienced filmmakers in dialogue with young talents to go in depth on filmic form and signature of a filmmaker. Concepts, camera directing and editing will each be addressed through exercises as well as discussion and analysis of exceptional documentaries.

more information at http://weblogs.vpro.nl/shadowdoc
or http://weblogs.vpro.nl/shadowdoc/masters?sd=LechKowalski

mardi, janvier 30, 2007

News for 2007

East of Paradise will be screening in March at





More information here!


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East of Paradise will also screen in Greece in the Thessaloniki documentary festival





More information here on the Thessaloniki Documentary film festival website



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Lech will also have a retrospective of his films at FICCO in Mexico city




FEBRUARY 21 - MARCH 4, 2007
Mexico City International Contemporary Film Festival (FICCO) was established on February 2004 by a Cinemex initiative, assuring itself as the most important cinematographic event of our country. With the solid commitment of promoting the best world cinematography in our city and the objective of offering an alterantive window to our guests, FICCO is an outstanding venue that celebrates creators and spectators, adding itself to the big international festivals, leaving proof that cinematographic art is still alive.

more information here